Juil
21

« CHRONIQUE D’UNE ARNAQUE DONT LA FIN EST ANNONCÉE : PART I »

Chronique d’une arnaque dont la fin est annoncée.

« Passionnés de Motocross mais cantonnés au seul rôle d’observateurs attentifs depuis des années, nous avons jugé opportun de nous regrouper afin de croiser et de compléter nos observations dans le but de dévoiler au public les multiples facettes d’un personnage dénué de scrupules, et particulièrement malfaisant à ses heures, et qui à nos yeux (et pas seulement), constitue LA HONTE DU MOTOCROSS FRANCAIS en raison du malheur qu’il n’a cessé de semer dans son entourage immédiat, mais aussi tous azimuts…

À l’origine de l’histoire nous fréquentons des gens amenés à faire travailler ce monsieur, et, au fil des années, profitant de nombreux repas pris en commun, nous avons patiemment recueilli leurs anecdotes, leurs commentaires, leurs analyses, au jour le jour.

Au début, nous éprouvions pour tout ceci un intérêt poli puis de la perplexité et encore de l’incrédulité, jusqu’à ne plus ressentir qu’une immense indignation.

À ce jour, confortés dans l’idée que notre indignation se justifie, nous nous décidons à compléter votre culture générale en étalant ses méthodes au grand jour.

Nous appellerons ce monsieur : « DVS »

« S » signifiant évidemment « senior » et ce sigle pouvant également être assimilé à la contraction de la devise de ce monsieur : « DIS VITE UNE SALOPERIE », devise qu’il s’attache à respecter au quotidien puisqu’il en a fait sa méthode de prédilection pour évincer ceux qui l’encombrent en leur attribuant les pires méfaits auprès de gens bien placés, dont à une époque aujourd’hui révolue, sa réputation, qu’on sait maintenant usurpée, lui valait l’oreille indulgente…

Dans un souci d’objectivité et de véracité, nous situerons notre Chronique dans les années s’étalant de 1999 à nos jours.

Durant cette période, notre ami décide de profiter d’un nom acquis par procuration…? et emploie une énergie débordante pour se créer une image de fin préparateur de Motos de compétition tout-terrain.

Le souci, c’est qu’il n’est pas le seul sur la place.

Qu’à cela ne tienne : il suffit de médire sur la concurrence.

LE PÈRE DE PILOTE SELON DVS

N’oublions pas que notre ami a toujours eu à faire à des parents de jeunes pilotes aussi bien lorsque son propre rejeton était adolescent, que quand il décida suite à une suggestion inconsidérée d’un père inexpérimenté et aveuglé par l’aura de père de champion dont il bénéficiait alors, de former des futurs champions de MX.

De ce fait, il s’agissait forcément de gens très occupés à se démener dans la vie active, et pour lesquels aucun des jours qui passaient ne comportait assez d’heures de travail pour suffire à alimenter le tonneau des Danaïdes que suppose le financement d’une saison de MX.

Or, bizarrement, cet homme péremptoire avait l’habitude d’expliquer aux « douces moitiés » de ces malheureux combien l’homme de sa vie était fainéant, inapte à toute chose en général mais particulièrement lourd, maladroit et incompétent dans le milieu du MX plus précisément.

Ceci constituait d’ailleurs un risque majeur pour la brillante carrière MX que lui, recruteur avisé, entrevoyait pour son fils à elle…

Il est d’ailleurs amusant de constater a posteriori au vu des témoignages combien l’ampleur des tares imputées à ces messieurs s’avérait proportionnelle au charme ou à l’esthétique de leurs compagnes.

Mais heureusement des solutions s’ouvraient à eux à la condition expresse que cette mère confiante s’en remette totalement à « DVS » et en passe par toutes ses exigences, dans le cadre d’une forme de contrat moral basé sur une absolue confiance mais dont la règle de base passait par l’interdiction d’aller voir comment fonctionnait la concurrence, de prendre de quelconques contacts et surtout de discuter dans les parcs coureurs sous peine de voir son brillant rejeton immédiatement exclu de ce que nous sommes maintenant tentés de qualifier de secte au sens strict du terme…

De la sorte, l’infortunée mère d’un potentiel champion conserverait à son fils la possibilité de compenser le handicap d’être affligé d’un boulet tel que son père.

Mais attention : « Nous avançons dans une direction et gare à ceux qui ne se conformeront pas AUX RÈGLES » ! s’entendait-elle répéter à longueur d’année.

Et, pour couronner le tout, force est d’admettre que la plupart de ces jeunes pilotes en herbe y trouvaient leur compte et en redemandaient, à l’image des adeptes de ces sectes dotées de gourous assez charismatiques pour les persuader qu’ils appartenaient à une élite en devenir…

Et, si survenaient des moments de doutes concernant l’intégrité de leur mentor, ces ados suppliaient de prendre patience, et de les laisser continuer à tenter leur chance.

Et pourtant, ceux-là aussi ont ouvert les yeux à l’heure où nous vous parlons..

Mais on y reviendra.. »

Le Collectif « Pour que la Vérité éclate enfin »

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